Françoise Petitdemange - Michel J. Cuny
Romans, Essais sciences humaines, historiques, philosophiques, Récit, etc.
Romans ; Essais : sciences humaines, histoire, philosophie ; Récits ; etc.
Depuis 1976, Michel J. Cuny et Françoise Petitdemange écrivent,
publient et diffusent eux-mêmes leurs oeuvres.
Ces ouvrages, présentés ci-dessous, peuvent être commandés
à l'une ou l'autre des adresses suivantes :
mjcuny.fpetitdemange@orange.fr
fpetitdemange.mjcuny@orange.fr
Caractère de plus en plus rare... Les livres imprimés sont tous reliés par couture.
Ils peuvent être agrémentés d'une dédicace particulière
sur simple demande.
Par ailleurs, MJC et FP publient de plus en plus sous la forme
de livres électroniques qui ont plusieurs atouts sur les livres imprimés :
ils prennent moins de place,
ils sont bien réalisés et ils sont moins chers
que les livres imprimés.
Ainsi, le rayonnement de leurs oeuvres ne se trouve nullement limité.
Leurs livres se trouvent diffusés,
au fil des commandes de lecteurs et de lectrices,
au-delà de l'hexagone :
à l’Île de la Réunion, au Luxembourg, au Canada, en Belgique, en Suisse, en Corse,
en Espagne, au Japon, à la Martinique, en Allemagne, en Argentine,
au Portugal, en Italie...
*****
Michel J. Cuny "Une femme très ordinaire", roman,
édition 1976, 115 pages, 12 euros (port compris).
*
Michel J. Cuny, "Une femme très ordinaire",
roman, édition 1976, 115 pages, 12 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Alors que le train file vers la grande ville
de Meurthe-et-Moselle, Nancy,
Simone, la quarantaine,
épouse de Georges, mère de Claudine,
pense à cette amie qu'elle n'a pas revue
depuis... dix ans. Dix ans, déjà...
Que le temps passe vite !
Et les images du passé reviennent à son esprit,
se mêlant aux images du paysage qui défile
sous ses yeux...
Michel J. Cuny "Les samedis de mai", roman,
édition 1980, 91 pages, 10 euros (port compris).
*
Michel J. Cuny, "Les samedis de mai",
roman, édition 1980, 91 pages, 10 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Pascal, 20 ans, travaille à l'usine Boussac,
dans un village des Vosges.
Heureusement, il y a les sorties avec les copains,
les bals du samedi soir et les filles.
Mais, à Paris, les choses bougent
et l'espoir d'une vie qui pourrait être
plus exaltante se dessine...
*
Françoise Petitdemange, "Le dernier chemin",
roman, édition 1981, 151 pages, 14 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Elle, paysanne des Hautes-Vosges, parcourt ce chemin
où passé, présent et futur
se rencontrent,
où le silence, les actes du quotidien et les pensées
rejoignent les personnes aimées.
Les mots prennent la fuite,
la mémoire s'effiloche, et c'est toute la vie
qui se reconstruit à partir de ce qu'il lui reste.
*
Michel J. Cuny - Françoise Petitdemange,
"Le feu sous la cendre"
"Enquête sur les silences obtenus par l'enseignement et la psychiatrie",
essai, édition 1986, 660 pages, 31 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Cet ouvrage couvre une période qui s'étend
de la fin du moyen âge à la fin du XXème siècle.
Il fait le lien entre deux domaines fondamentaux,
l'économie et le politique,
qui concernent chaque être humain vivant en société.
Par ailleurs, il évoque la mise en place,
d'une part, de l'enseignement,
et, d'autre part, de la psychiatrie,
au début du XIXème siècle, puis l'émergence de la psychanalyse à la fin du XIXème siècle.
*
Michel J. Cuny - Françoise Petitdemange,
"La clef des champs",
récit autobiographique, édition 1990, 165 pages, 15 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Plus d'une dizaine d'années
après avoir fait leurs premiers pas
sur les chemins de l'écriture, les voici,
livrant, pour la première fois au public,
les grandes lignes de leur aventure : notamment, les multiples rencontres avec leurs lecteurs et lectrices
et les nombreuses visites dans les bibliothèques.
En quelques années seulement,
des centaines de milliers de kilomètres parcourus
à travers les villes et les campagnes.
*
Michel J. Cuny, "Folles errances",
roman, édition 1993, 115 pages, 12 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
L'amour...
Au-delà des contingences matérielles.
N'est-ce pas sortie de l'imaginaire
et entrée de vive voix dans l'univers symbolique?
N'est-ce pas dépassement de l'un et de l'autre
dans un projet qui, inéluctablement, mène vers...
la mort.
*
Françoise Petitdemange, "la toiture a pédals",
roman, édition 1993, 229 pages, 21 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
La petite enfance...
C'est l'entrée dans l'univers des mots,
ces mots qui se mettent sur tous les objets
et qui sont comme des jouets.
C'est aussi l'accès à un monde qui, jusque-là,
paraissait interdit : le monde des adultes.
Mais jusqu'où la toiture a pédals
va mener Philippe ?
*
Michel J. Cuny - Françoise Petitdemange,
"Fallait-il laisser mourir Jean Moulin ?",
essai, édition 1995, 459 pages, 29 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Pour Jean Moulin, la lutte, à la fois
contre les nazis et contre le gouvernement de collaboration de Vichy,
ne pouvait se mener qu'en France.
Lorsque le général de Gaulle lança son appel,
depuis Londres, bien des hommes et des femmes étaient déjà entré(e)s en résistance sur le sol français.
Préfet d'Eure-et-Loir révoqué par Pétain,
Jean Moulin, devenu chef de la Résistance, devait acquérir, au fil des années, l'expérience d'un chef d'Etat.
De quoi faire de l'ombre à un général de Gaulle,
jaloux de revenir, sur le sol français, tel un sauveur...
*
Michel J. Cuny, "Cantilènes pour le XXIème siècle -
Lettres d'amour d'un père à sa fille et réponses", roman,
édition 1996, 331 pages, 25 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Un homme et sa fille de dix-sept ans
viennent de se séparer.
L'écriture va être le seul lien possible entre eux
durant deux années.
Que peut alors écrire un homme
à sa fille qui se trouve dans la saison des amours ?
Qu'a-t-il gardé, en mémoire, de ce temps-là ?
Et que peut lui répondre
sa fille ?
*
Michel J. Cuny, "Amour, beauté, désir -
Quel avenir ? À quel prix ?",
essai, édition 1998, 151 pages, 14 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est ici.
Prendre le chemin de traverse
et marcher, pas à pas, sur les traces
laissées par Sigmund Freud et Jacques Lacan.
Et, mot à mot, découvrir
ce qu'amour, ce que beauté, ce que désir
peuvent signifier en dehors
des définitions, des images et des désirs
tout(e)s fait(e)s.
*
Michel J. Cuny - Françoise Petitdemange - Christine Cuny,
"Ernest-Antoine Seillière -
Quand le capitalisme français dit son nom",
essai, édition 2002, 477 pages, 29 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Ernest-Antoine Seillière... de Laborde.
Rien que par sa généalogie,
celui qui fut le patron du Medef
et qui est, dorénavant, le patron de Businesseurope,
se trouve descendant des familles
Wendel, Laborde, Seillière, Demachy...
Par les mariages de personnes et d'intérêts,
par le croisement des intérêts étatiques et familiaux,
les fortunes proviennent de la sidérurgie,
de la traite des Noir(e)s, du textile, de la banque, etc.
*
Michel J. Cuny - Françoise Petitdemange,
"Brassens, Brel, Ferré - Trois voix pour chanter l'amour", essai, édition 2003, 280 pages, 23 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Trois chanteurs, trois voix, trois conceptions de la notion d'amour.
Brassens, le troubadour,
Brel, l'auteur-compositeur-interprète,
Ferré, le poète.
Ils nous ont donné,
par leurs alliances de mots et de sons,
le la.. de l'amour.
*
Michel J. Cuny, "Le procès impossible de Charles de Gaulle", essai, édition 2005, 476 pages, 29 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Un procès en douze audiences,
durant lesquelles les principaux
collaborateurs et opposants de Charles de Gaulle
apportent leurs témoignages,
venus tout droit de leurs écrits,
qui permettent d'aller au-delà de la légende
façonnée autour du personnage du Général...
*
Michel J. Cuny,
"Entretiens avec Karl Marx, Friedrich Engels, Vladimir Ilitch Lénine", essai, édition 2008, 478 pages, 29 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
L'essentiel du travail
de Karl Marx, de Friedrich Engels, de Vladimir Ilitch Lénine,
donné au fil de quatorze entretiens
effectués à partir de leurs ouvrages...
Et si les réflexions apportées, à leur époque,
par ces trois personnages,
étaient encore d'actualité ?
Voltaire...
Le défenseur des protestants. Vraiment ?
L'homme de la tolérance ? Les armes à la main...
Mais d'où venait son immense fortune
dont il plaçait une partie chez le banquier
Jean-Joseph de Laborde ?
Du commerce triangulaire,
de la traite des Noir(e)s,
mais encore... des fournitures aux armées.
Sa correspondance nous donne des éléments
pour aller au-delà des images toutes faites
que nous a laissées l'enseignement.
Faudra-t-il un jour faire sortir Voltaire du Panthéon des grands hommes?
*
Michel J. Cuny, "Voltaire - L'or au prix du sang",
essai, édition 2009, 476 pages, 29 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Voltaire...
Le défenseur des protestants. Vraiment ?
L'homme de la tolérance ? les armes à la main...
Mais d'où lui venait cette immense fortune
dont une partie était placée chez le banquier
Jean-Joseph de Laborde ?
Du commerce triangulaire, de la traite des Noir(e)s,
des fournitures aux armées, et... de la spéculation sur la dette publique.
Par sa correspondance, Voltaire
a donné les éléments qui permettent d'aller
au-delà des clichés
qu'a légués à des générations d'écolier(ière)s, sans doute à son corps défendant, l'enseignement...
*
Michel J. Cuny,
"Une santé aux mains du grand capital - L'alerte du Médiator",
essai, édition 2011, 476 pages, 29 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
La santé ?
En système capitaliste,
est-elle, réellement, le principal souci
des multinationales du médicament ?
Alors d'où vient que le Médiator, par exemple, a tué ?
*
Michel J. Cuny,
"Quand le capital se joue du travail - Chroniques d'un désastre permanent",
essai, édition 2012, 477 pages, 29 euros.
Pour accéder à la page de commande et de paiement, c'est
ici.
La finance internationale ?
La voici s'emparant des vies de travail
via toutes les activités humaines.
N'étant pas directement liée
au travail de production,
celui-ci n'en est pas moins sous son contrôle
indirect, certes, mais néanmoins absolu.
*
Françoise Petitdemange,
"La Libye révolutionnaire dans le monde (1969-2011)",
essai, édition 2014, 542 pages, 29 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
1er Septembre 1969...
Lassé de voir leur pays occupé militairement
par la France, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis,
un groupe de jeunes Libyens de l'Académie Militaire,
appuyé par une centaine de civils et de militaires,
effectue une révolution, sans effusion de sang.
A partir de ce moment, la Libye
passe d'une monarchie quasiment féodale
où la manne pétrolière naissante profitait à l'entourage
du roi fantoche, Idriss 1er,
à une République Arabe Libyenne.
Très vite, le peuple libyen
va quitter les bidonvilles et sortir de l'analphabétisme.
En 42 années,
il va faire l'expérience de la démocratie directe.
En 2011, les chefs de ces trois Etats ex-colonisateurs
vont se venger du peuple libyen
qui s'est si bien gouverné lui-même
qu'en décembre 2010,
la Libye est le pays le moins endetté de la planète.
*
Michel J. Cuny,
"Ce que Thomas Piketty nous révèle, malgré lui, de l'épopée de l"URSS",
essai, éditions Paroles Vives, 2016, 294 pages, 13 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Au sortir de la guerre de 1939-1945,
le Parti Communiste, par ses actes de résistance
contre le nazisme et la collaboration française au nazisme,
était sorti grandi
dans l’esprit de la population laborieuse.
Il fallait donc, à ceux qui allaient prendre les rênes du pouvoir,
éviter l’influence de l’URSS
(Union des Républiques Socialistes Soviétiques)
sur le système de production capitaliste.
Comme dans tous les régimes, le pouvoir allait utiliser,
par divers avantages, les classes moyennes contre la classe productive
pour leur faire accepter le capitalisme.
Avec un succès certain jusqu’à aujourd’hui.
*
Françoise Petitdemange,
"La guerre coloniale et la contre-révolution en Libye
(mars 2011-octobre 2013)",
essai, éditions Paroles Vives, 2016, 379 pages, 15 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Une guerre menée contre l’État le plus démocratique qui ait pu exister
dans le monde : l’État des masses
ou Grande Jamahiriya Arabe Libyenne Populaire Socialiste.
Une guerre menée contre un peuple libre, qui s’était libéré du joug colonial,
et qui ne demandait rien.
Une guerre menée contre un pays pour lui voler sa principale richesse :
le pétrole, un pétrole réputé de très grande qualité.
Une guerre menée contre un continent : le continent africain
qui, sous l’impulsion du Guide révolutionnaire Muammar Gaddhafi,
se développait par ses propres moyens,
sans plus recourir aux institutions occidentales.
Voilà. C’est tout cela que la guerre de 2011 a saccagé
en sept mois.
Cet ouvrage suit, au jour le jour,
la contre-révolution et la guerre coloniale.
*
Michel J. Cuny,
"Pour en finir avec la Cinquième République
Histoire de l’étouffement du suffrage universel ",
essai, éditions Paroles Vives, 2016, 500 pages, 19 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Les origines lointaines de la Cinquième République
consistent dans la volonté de mettre en place un système politique
qui déboucherait sur un renforcement déterminant
d’un pouvoir exécutif fort
en situation de s’opposer, de façon décisive,
à la montée irrésistible du suffrage universel
et à l’impact que celui-ci pouvait avoir
sur la législation du travail au détriment du capital.
*
Michel J. Cuny,
"Freud et Lacan... À quoi bon ?",
tome 1, 1871-1893,
"Les années d’institutionnalisation de la psychologie expérimentale française",
essai, éditions Paroles Vives, 2018, 625 pages, 23 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Lorsque Sigmund Freud effectue son séjour d’études
à l‘hôpital de la Salpêtrière auprès de Jean-Martin Charcot
(octobre 1885 - février 1886),
la psychiatrie française est tout imprégnée d’une notion qui est censée expliquer
l’origine des maladies mentales en général : la dégénérescence.
Mais si la dégénérescence et son complément ordinaire, l’hérédité,
faisaient effectivement partie de l’argumentaire
assez régulièrement utilisé par Charcot,
Sigmund Freud, venu là pour s’enquérir de ce qui s’y enseignait effectivement,
ne tarde pas à comprendre qu’il n'y a pas lieu de trop s’y fier.
La pensée du maître de la Salpêtrière était autrement fine,
et son caractère parfois très aventureux n’était pas pour autant
un moyen de faire fi d’éléments scientifiques assez fortement charpentés,
même s’ils n’étaient encore que parcellaires.
Et voici qu’allait se dessiner, à Vienne, l’inflexion
dont nous savons qu’elle conduirait Sigmund Freud
vers des horizons restés jusqu’à présent sans limites.
Freud et Lacan...
*
Michel J. Cuny,
"Sionisme : le renversement d’alliance
Ou comment l’Allemagne hitlérienne a été dédouanée des crimes nazis
par la criminalisation de l’U.R.S.S. et sans aucun document véridique",
essai, éditions Paroles Vives, 2018, 482 pages, 18 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, des auteurs sionistes,
et tout particulièrement Hannah Arendt (aux États-Unis)
et Julius Margolin (en Palestine), mais également
- et cette fois-ci au coeur même de l'Union soviétique -
Ilya Ehrenbourg et Vassili Grossman,
se sont mis en devoir de faire basculer le poids des crimes perpétrés par les nazis,
du côté de l'Union soviétique,
désormais extrêmement dangereuse pour les intérêts de l'impérialisme anglo-saxon.
Au coeur de tout ceci, il y avait un enjeu de taille :
obtenir que les Juifs pauvres s'écartent au maximum de l'influence du marxisme,
et prendre appui sur la situation fausse
dans laquelle se trouvait alors l'Allemagne
pour obtenir que l'Occident se range, dans son ensemble,
derrière la création de l'État d'Israël,
pôle avancé des puissances impérialistes occidentales
dans le monde arabo-musulman et ses puits de pétrole...
Nous en voyons aujourd'hui les résultats,
de même que nous pressentons ce que seront les suites prochaines
de cette manoeuvre
qui aura fini par prendre une dimension planétaire.
*
Michel J. Cuny,
"Jean Moulin démasque Charles de Gaulle et les socialistes",
essai, éditions Paroles Vives, 2018, 466 pages, 18 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
Jean Moulin... dont il est possible aujourd'hui de dire qu'il aura rencontré la mort
sous deux modalités différentes.
Celle, d'abord, sur quoi a débouché ce premier crime
commis sous la tutelle bienveillante de Charles de Gaulle :
trahir Jean Moulin jusqu'à le faire remettre à Klaus Barbie.
Celle ensuite qui, par l'écrasement de la souveraineté
du Conseil National de la Résistance, a permis à De Gaulle,
par deux décisions prises en 1945 : 8 mai (Algérie) et 15 septembre (Indochine),
de condamner à mort (court terme, moyen terme et long terme rassemblés)
un peu plus de deux millions d'êtres humains dont 315.000 Françaises et Français.
Mais qui était donc réellement Charles de Gaulle,
et pour quelle raison les socialistes de Léon Blum
se sont-ils ralliés à lui contre Jean Moulin ?
C'est ce que nous allons découvrir ici...
*
Françoise Petitdemange,
"L’enfance
par monts et par vaux",
autobiographie, éditions Paroles Vives, 2019, 351 pages, 11 euros.
Pour atteindre la page de commande et de paiement, c'est
ici.
C’est par le plus grand des hasards qui fait bien les choses que,
de l’idée sans cesse remise à plus tard,
je suis passée à l’acte d’écrire sur mon enfance.
Celle-ci est partie de Saint-Michel-sur-Meurthe puis de La Voivre...
Une simple lecture de cartes m’a permis de voir
que mon enfance a eu lieu sur un mouchoir de poche, dans les Vosges :
Plainfaing, Les Poulières, La Chapelle-devant-Bruyères, Yvoux,
Bois-de-Champ, Saint-Amé, Biffontaine, Thiriville, Saint-Dié...
avec quelques excursions en Meurthe-et-Moselle :
Nomeny, Longuyon, Pierrepont...
Ce livre n’est pas sur mon enfance mais mon enfance.
Je l’ai écrit tel que je l’ai vécue : à la fois tragique et primesautière.
Une fois n’est pas coutume : j’ai donné au texte une iconographie parlante.
J’espère que ceux-celles qui liront ce livre auront autant de plaisir à le lire
que j’en ai eu à l’écrire.